En février, un rapport parlementaire épinglait « le manque de célérité » des autorités françaises dans les négociations avec les pays d’Asie centrale pour rapatrier le matériel d’Afghanistan et les coûts importants du désengagement par voie aérienne et mixte. Fin avril, la voie Nord, via l’Ouzbékistan et le Kazakhstan, principalement terrestre et « sensiblement moins onéreuse » a finalement été ouverte au passage de deux convois.
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